posté le 24-06-2018 à 19:50:36
Notre travail associatif dans le cadre du marché couvert
N'ayant pour habitude de faire les choses à moitié, nous comprenons que les bricoleurs désignés pour redynamiser le marché couvert aient pris ombrage à la vue des multiples propositions (restées sans suite) que nous leur avons soumises.
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"Manifestations et rencontres organisées par nos deux association."
Vous jugerez de vous même de nos capacités à organiser des animations surtout lorsque nous avons la chance de disposer d'un cadre aussi prestigieux que le marché couvert.
" Le bon dieu donne des fèves à celui qui n'a pas de dents "
Le boyscout au chapeau de brousse dispose de tous les atouts pour faire de cet endroit classé au patrimoine architectural de la ville un modèle de vitrine qui devrait attirer non seulement la population locale, qui déserte depuis des années le quartier), mais aussi les nombreux touristes qui, hélas, repartent la plupart du temps en ricanant de l'image déplorable de la société réunionnaise.
En encourageant le désordre par un immobilisme notoire dans l'enceinte du marché, détritus, poubelles débordantes, aménagement improvisés de certains exposants, non respect des limites à ne pas dépasser provoquant l' obstructions des allées réservées aux visiteurs, encombrement des entrées du marché par des marchandises, motos, etc... Le service de la règlementation est à ce jour incapable de faire respecter un semblant de règles qui pourraient donner à ce marché des allures un peu plus accueillantes.
Incapables d'imposer des heures fixes d'ouverture
et de fermeture du marché qu'un invisible gardien de nuit abandonne dès cinq heures du matin,
de nombreux stands restent bachés et fermés selon l'humeur de leur propriétaire. Ce qui nuit considérablement à l'ensemble des autres exposants. Cela, un fonctionnaire ne peut
hélas le comprendre.
Notre idée initiale était de créer chaque mercredi sur l'esplanade devant le marché, un marché "Bio" avec le retour du marché aux fleurs décalé vers la rue du Fourachaux depuis le début des travaux. Nous avions proposé d'ouvrir les portes du marché à d'autres artisans en leur offrant la possibilité d'exposer leurs produits comme nous l'avions fait il y a quelques années avec beaucoup de succès.
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L'idée d'une rue piétonne dans les deux ruelles du marché fut invoquée et favorablement accueillie par l'élu à la dynamisation du centre ville. Nous avions proposé de lancer cette opération pour commencer chaque samedi de manière à tester les résultats.
Des commerces à caractères culturels auraient pu se joindre à nous, bouquinistes, antiquaires, artistes peintres...
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L'idée d'une nocturne une fois tous les deux mois aurait pu faire vivre commerçants et restaurateurs du quartier. L'idée fut reprise sur le front de mer par une société étrangère à la ville avant que les services concernés réagissent.
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Une proposition de créer une salle d'exposition dans le marché dans un box fermé depuis plus d'une année, ce qui aurait permis d'animer une fois par mois le marché couvert par des évènements culturels.
Convoqué par l'illusionniste qui devant témoins nous informait que cette attribution était imminente...mensonge, retournement de veste, nous devions recevoir une lettre qui dans un style administratif arrogant nous informaitque ce n'était plus d'actualité.
Pour la petite histoire, comme nous n'étions pas les mêmes endormis que nos interlocuteurs, nous avion trouvé auprès de l'adjoint à la dynamisation le financement pour installer les cimaises, spots et aménagemùent du local, local qui devait servir également chaque mercredi à une école de peinture sous la direction d'une artiste peintre très connue dans la région ainsi que des séances d'Arthérapie qui auraent pu avoir lieu le samedi après midi.
Et comme toujours...
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Cette lattitude inexplicable d'un élu qui depuis sa nomination n'a pas eu le courage de venir quatre fois sur le terrain de ses exploits nous fait penser que ce grand chantier de déconstruction auquel
il s'est attelé ne peut être qu'une volonté
municipale dont le but est de décourager les exposants du marché couvert afin d'utiliser les six millions d'euros qui seront consacrés à la rénovation du marché à un autre projet de boutiques plus luxueuses qui seront destinées à des locataires plus "compréhensifs" et "généreux".
Si ce n'était pas le cas, seul l'asile psychiatrique pourrait éventuellement traiter le cas psycho-pathologique dont semblerait atteint le virtuose de la blague, menteur invétéré, qui s'il avait voulu se faire des ennemis ne se serait pas pris autrement. Attitude dont souffrira certainement son patron au cas où il briguerait en 2020 un mandat supplémentaire.
D'ici deux ans, tant de choses peuvent arriver, qu'il nous sera donné encore maintes fois l'occasion (s'il plait à Dieu, comme dirait l'ami Tillier) de reparler de ce triste sire.