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Qu’est-ce qu’un citoyen attend d’un élu ? |

Souvent le chef, est celui ou celle qui ouvre la voie,  

en traitant ses sujets comme des enfants, les écrasant au lieu de les faire grandir.

 De nombreux dirigeants, élus accidentellement promu à des postes qu'ils ne maitrisent pas, prennent leur nouvelle fonction sans

avoir été formés.

On peut être un excellent piqueur de fesses, mais cela ne prépare pas à s' occuper

des autres, car pour être en mesure de s'occuper des problèmes des autres, il faut d'abord avoir compris le mécanisme et

les mentalités  de ceux qu'on est

ucceptibles de représenter.

Surtout losque ces "autres" sont d'une corporation qui n'est pas la sienne et où le moindre faux pas peut devenir

source de tension.

Pour gérer au mieux ce genre de situations, les qualités premières d'un élu sont le sens de l'organisation, la capacité de fédérer, bien communiquer, réguler les conflits, dire tout ce qui doit être dit en le faisant correctement...des actions simples qui ne relèvent que du bon sens...à condition d'en être pourvu !

  Etre au service des autres en jouant franc jeu.

 De tels "conducteurs d'hommes", s'ils attirent l'admiration et forcent le respect, hélas, sont très rares. 

 Quand aux  farfelus qui s'auréolent de pouvoirs trop grands pour eux, totalement "à côté de la plaque", dépourvus de vision et du don de commandement, ne bénéficieront jamais ni de la confiance, ni de l'estime de ceux qu'ils espèrent diriger.

Vaniteux, arrogants, méprisants, ils abusent de leur position d'élu, usant de tous les stratagèmes pour destabiliser ceux qui osent s'opposer à leur politique de déconstruction.

Souvent le chef est celui qui ouvre la porte...

Hé bien celui qui essaie d'être le nôtre semble l'avoir ouverte uniquement pour nous ejecter du marché couvert.

Dans le cas où nous devrions évaluer les insuffisances du mandat écoulé, (ce qui sera fait, dit et redit) nous ne manquerions pas de signaler et de faire constater les manquements, les abus de pouvoir, les dérapages et d'une manière générale, l'incapacité notoire de ce triste sire, afin de le décharger de cette fonction qu'à aucun moment il a su ou voulu assumer.