Auteur : anousdechoisir
Date de création : 08-06-2018
Le caillou dans le soulier.
C’est le cas de notre bien aimé bon à rien que le maire a enfermé dans un cagibi avec quelques poulettes et un caporal qui après sieste et lecture des quotidiens attend religieusement l’heure de la sortie.
« Ne pas tenir leurs promesses », « parler au lieu d’agir », « ne rien faire » ou se complaire dans des luttes ou des polémiques stériles.
Tel est leur programme pour lequel ils sont pour la plupart généreusement payés.
Payés au rendement, il ne pourraient même pas se payer une paire de savates 2dwa…
Il est reproché aux hommes politiques de ne se préoccuper que de leurs intérêts propres, souvent associés à l’obsession du « poste » ou de la « place » qui leur est imputée, souvent pour leur incompétence et leur intelligence limitée. Ce qui leur évite de convoiter la place du chef.
Ainsi perçus, les hommes politiques sont du même coup souvent suspectés de « se servir sur le dos des Français », de « préférer le fauteuil au boulot », leur carrière à « l’intérêt du pays », leur « ambition personnelle » à « l’ambition de projet », le « pouvoir » à la « vision politique de la société ».
Le thème de la malhonnêteté supposée des hommes politiques est l’un de ceux qui reviennent le plus souvent dans ces réquisitoires.
Le sentiment que les hommes politiques en général, ou un grand nombre d’entre eux, commettent diverses malversations vient du fait qu’ils ont tendance à prendre leurs électeurs pour les analphabètes des années 50.
C’est vrai qu’à la Réunion les optimistes considèrent qu’il y a 60% de gens qui ne savent ni lire, ni écrire.
Dans les limites de nos moyens, justice, médias, communications quotidiennes aux autres élus, des sanctions à l’égard de ceux qui nous déçoivent seront annoncées par une dénonciation acharnée qui finira par porter ses fruits, sinon agacer les potentats en place.