Il faut saluer l'initiative surprenante de placer des caméras dans l'enceinte du marché couvert et souligner que depuis quelques mois déjà, il en existe autour du marché.
Cette excellente décision a été initiée par le sympathique élu Jean Max Moutoussamy, que nous saluons et félicitons pour ses nombreuses actions citoyennes. Son dévouement et son enthousiasme communicatif aux causes les plus diverses nous le font apparaitre comme un élu expérimenté qui prend son rôle au sérieux, une attitude qui dénote dans l' assoupissement général qui règne à la mairie.
"Pour fonctionner à H24, le centre de surveillance doit comporter au minimum 15 personnes devant les écrans", indique Jean Max Moutoussamy, conseiller municipal délégué à la sécurisation.
La propreté ou plutôt la saleté est un vrai problème à St Pierre, les rues sont de vrais dépotoirs et dans certains quartiers, des encombrants restent huit jours et plus devant les immeubles. Franchement crado tout ça !
Attention où vous mettez les pieds ! Slalomer entre crottes de chiens, papiers gras et reste de barquettes cari sera votre parcours urbain quotidien !
De nombreux habitants se plaignent de la saleté qui envahit chaque jour davantage nos rues. Mais c'est avant tout le comportement des citoyens débarqués de toutes les banlieues par la gare routière, qui laisse souvent à désirer. Il est grand temps que tout le monde se mobilise pour faire de cette belle ville une ville propre et agréable.
Le manque cruel de civisme de certains citoyens qui sans gêne ni vergogne urinent dans tous les recoins devraient déclencher, maintenant que nous avons des caméras, des réactions des services de police qui nouvellement équipés de bicyclettes peuvent arriver dans les plus brefs délais sur les lieux.
Un lourd dossier concernant un grand nombre d’individus, hommes et femmes, de toute une population qui reste marginale, celle des sans abris.
A notre époque où l’on distribue sans compter aides et assistanat souvent non justifiés, ce constat concernant ces malheureux est un anachronisme vivant insupportable. Comment aider ces pauvres gens ? Que fait donc l’État ?
L’exclusion sociale, et la déchéance de ceux qui n’ont plus de famille ni de toit, qui vivent dans une crasse insupportable ne semble pas déranger, hélas, ceux qui dilapident sans compter l’argent des contribuables. Cette « misère noire » due à la perte généralisée de toute sociabilité se traduit par une misère culturelle, misère sexuelle, misère psychique, misère morale, etc...
La vie psychique de ces populations sans domicile fixe, de ces exclus ou de ces sujets gravement précaires devrait être une priorité de la politique municipale à l’encontre de la détresse de tous ceux qui ont le sentiment de ne pas avoir de place dans la société. Mais qui se soucie de cette souffrance, une certaine forme de maltraitance par les pouvoirs publiques à l’encontre des plus démunis.
Ces « clochards » isolés ou en bandes sont une population qui reste marginale et sont un spectacle intolérable dans une ville qui se veut Capitale du sud.
Sans pudeur, sans hygiène, fervent de la bouteille, ne cherchant plus dans la vie que l’oubli de l’ivresse, il choque les passants, scandalise les enfants, et portent atteinte à la santé publique. Mais qui dans ce monde égoîste releve le défi d'ouvrir ce débat?
Ce problème de désœuvrement, d’ailleurs sous silence, n’échappe pas à bon nombre de citoyens scandalisés par la carence et l’insuffisance de moyens utilisés par nos élus pour soulager au mieux ces exclus.
Le basculement dans le monde de la rue de toute cette population devrait de nos jours être inacceptable et indigne !
L'opinion publique supporte de moins en moins que ceux qui demandent des efforts à la population ne s’y assujettissent pas eux-mêmes.
Cela aussi bien pour les politiques que pour les fonctionnaires quels qu'ils soient !!!
L’homme politique ne fait plus de politique. Il ne représente plus la population. Et quand les citoyens utilisent leur bulletin de vote, ils ne font que désigner ceux qui feront ce qu’ils ont l’obligation de faire, c’est à dire tout, sauf être les représentants des citoyens et les porteurs de l’intérêt général de la société.
Aujourd'hui il nous faut du concret, rien que du concret...
Le bla bla bla ne marche plus!
Mais pour cela il faut savoir écouter, savoir de quoi on parle et maitriser son sujet. Ce qui n'est pas le cas chez la plupart de ces "béni oui oui" dont on sait qu'ils ne déplacerons pas des montagnes.
Ni les compétences, ni le caractère ne les autorisent à décider et cette médiocrité absolus se solde toujours par des promesses qui ne seront jamais tenues. Une tactique hypocrite et rusée d'éluder les problèmes et de les reporter ulterieurement. Un procédé bien pratique pour écarter, au moins provisoirement, certains géneurs. Une façon certaine pour ces ptits chefs de prendre les citoyens pour des benets et des demeurés.
La première des choses à ne jamais faire surtout quand on est incompétent, c'est de promettre l'impossible.
C'est le meilleur moyen de se griller, de perdre le peu d’autorité que la nature vous a octroyée et de passer pour un rigolo. Image difficile à gommer par la suite.
Si vous faites des promesses intenables on ne vous fera plus jamais confiance. De nombreux hommes politiques en ont font les frais…
Ce ci est valable pour les zozos municipaux qui pensent qu’ils sont indéboulonnables.
" De l'espoir pour demain "
"Pas sans nous."
CHU du Sud bien malmené... JIR du 23 juin
Avec l'aval de l'ARS et du conseil d'administration.
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